Presque le bonheur, en tout cas pas longtemps. Prévert et Carné donnent à Gabin un court répit dans le très sombre et très beau Le jour se lève. Fin des années trente, le désespoir se porte bien. Marqué par la fatalité, le cinéma du réalisme poétique. Un film sur deux du fameux tandem comporte un suicide.
Commentaires sur Le cinéma, mon vélo et moi/5/ Presque le bonheur
- Toute une époque, et ces images en noir et blanc sont presque des tableaux ! Comme tu le dis, le désespoir se portait bien, je pense qu'il n'a guère cessé depuis, hormis la période des Trente Glorieuses...
Bises et à ttds
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