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27 février 2022

Deep Heart

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                        Lecture commune avec Val La jument verte de Val au coeur du pays le plus exotique qui soit, le Royaume Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord. Déjà l'appellation...J'aime bien Jonathan Coe (La pluie avant qu'elle ne tombe, Billy Wilder et moi) toujours très fin observateur. Le Brexit ne vous passionne pas? Je demande ça parce que le Brexit est le personnage principal de cet excellent roman tout à la fois émouvant et cocasse, acéré et distant. Un exploit que de faire aimer cet imbroglio insulaire aux Frenchies d'outre Channel. 

                       Plusieurs destins se nouent et se dénouent lors des années d'avant la décision so British d'envoyer paître Dame Europe. Benjamin, quinqua qui vit seul et tente une carrière littéraire. Sa soeur Lois à l'aube d'un divorce. Doug, journaliste plutôt proche du Labour, partisan du Remain mais dont la maîtresse est une parlementaire conservatrice plutôt favorable au Leave mais pas trop quand même. Sophie, la fille de Lois, au mariage hasardeux. La toute jeune Coriandre (comment peut-on s'appeler Coriandre?), ultragauchiste sans concession, aux seize ans stupides et navrants (mais les miens ne l'étaient-ils pas un peu?). Charlie, ancien condisciple de Benjamin, qui fait le clown au sens propre dans les goûters d'enfants et dort dans sa voiture.

                       Tous un peu perdus en une symphonie d'Albion qui perd la tête, ces hommes et ces femmes nous vont droit au coeur. Humains, trop humains. J'ai envie d'un tee-shirt "Je suis British". Parfois désopilant à l'instar de la couverture vraiment hilarante, Le coeur de l'Angleterre est un grand roman sur le désenchantement et l'égarement qui peut prendre le contrôle des hommes. Et même des Français peuvent s'insinuer dans cette passionnante English story. Le Brexit aura au moins donné naissance à un livre assez génial. Quelques toutes petites concessions aux minorités, il est devenu si difficile de faire autrement. Mais je n'en dirai pas plus. Si, un tout petit extrait. Funny, isn't it? 

                      Le directeur de département de Sophie, Martin Lomas, cinquante-deux ans, était professeur d'histoire européenne, spécialisé dans le  rôle joué par le lin dans les accords commerciaux entre la Grande-Bretagne et les pays Baltes au début du XVIIe siècle, sujet sur lequel il avait déjà écrit quatre ouvrages.

                      A l'heure où je rédige j'ignore totalement le vote de mon amie Val. Read-remain ou read-exit? So long, dear friends. 

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Tags: Littérature,  Angleterre,  Humour

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25 février 2022

Rien ne va plus au Grand Hotel

    Rien ne va. Et Gary Brooker est parti. Alors deux mots. Ne croyez pas ce qu'on écrit. N'écoutez pas que le somptueux tube que les radios vont vous repasser. Gary Brooker, l'âme de Procol Harum c'est une quinzaine d'albums la plupart du temps géniaux, avec les meilleurs musiciens et un line-up variable bien sûr, notamment Matthew Fischer et Robin Trower. J'en possède moi-même neuf. Les premiers ou presque (avec les Moody Blues) à fusionner rock et symphonie. Ils avaient beaucoup tourné notamment en Allemagne et Scandinavie. La France, rarement très compréhensive musicalement, les a toujours ignorés. Procol Harum ou l'un des plus grands malentendus de l'histoire du rock.*

  

* Le protocole de Procol

 

 

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Tags: Rock,  Musique classique,  Histoire

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22 février 2022

L'ami nordique

Des-hommes-dans-ma-situation

                     Je me retrouve volontiers dans les livres du Norvégien Per Petterson que j'aborde pour la cinquième fois. Arvild Jansen était déjà le héros de Maudit soit le fleuve du temps (Grand du Nord). On ne le quitte pas au long des 300 pages de Des hommes dans ma situation. En pleine séparation d'avec Turvid, Arvid dérive tranquillement, écrivain qui n'écrit guère, père de trois filles qu'il peine à voir, écumant Oslo de bar en bar, s'alcoolisant raisonnablement, oisif, quelques conquêtes de hasard. La vie, la vie dans tout ce qu'elle a d'erratique. Alors on pense un peu à Drieu La Rochelle, au Feu follet, au cinéma du jeune Wim Wenders, tout cela version smorgasbord, et ce Nord que j'aime tant. 

                     Nous sommes certes dans une littérature de la mélancolie, du spleen, du blues. Mais ceux qui me lisent un peu me connaissent de même depuis longtemps savent mon goût pour cette atmosphère. Je me sens mieux quand je me sens mal. Des hommes dans ma situation ne convient pas aux boute-en-train, mais aux hommes dans ma situation, oui. Alors j'ai aimé accompagner Arvid dans sa déréliction, sacrifiant ainsi au romanesque sombre. Attention je connais mes limites et apparemment Arvid aussi. Restons dans le cadre de la raison et rien ne vaut la vie.

                   Léger bémol pour altérer un peu ma tendance laudative au sujet du roman. Je ne pense pas que Per Petterson sache que j'ai passé cinq jours de ma vie à Oslo en 19... je sais plus. Il doit croire que j'y aie une résidence secondaire. Car j'ai rarement lu un tel lame dropping géographique. Gallimard aurait dû agrémenter Des hommes dans ma situation d'un plan de la ville. Des centaines de noms de rues, de places, de banlieues, de ponts, de gares, etc. constellent le récit et l'errance, mesurée, d'Arvid Jansen à sa propre recherche. Je suis sensible aux noms nordiques que j'essaie de prononcer à voix haute, mon exotisme à moi. D'aucuns trouveront cela un peu abusif.

                  Embarquez pour ce street trip septentrional, c'est ma conclusion, si vous aimez ce dépaysement immersif et si vous avez envie d'accompagner Arvid, comme un voisin un peu ombrageux mais qui mérite toute votre attention. Quelques lignes où il n'est pas question de l'urbanisme de la capitale norvégienne. 

                  Ma vie s'en allait à vau-l'eau, tout disparaissait, je ne retenais rien, les choses se détachaientde moi les unes après les autres et flottaient dans l'air. Et elles ne reviendraient plus. Comme dans le poème de Yeats, où le faucon n'entend plus l'appel du fauconnier, s'envole au-dessus des collines pierreuses et disparaît quelque part entre les montagnes de Mongolie. Ou dans l'ouest de l'Irlande, près des îles Blasket avec leurs maisons sans toit et leurs murets en pierre sèche à moitié écroulés; ce paysage noyé sous la pluie que j'avais vu autrefois depuis les hautes falaises de la côte.

                  Tiens. On dirait qu'il sait aussi que que j'ai passé quelques heures aux îles Blasket. C'était en 20... je sais plus. 

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Tags: Littérature,  Nord,  Norvège,  Amour

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17 février 2022

Bon appétit Messieurs

Dejeuner 

                 Ce déjeuner est délicieux. Il en émane un charme très plaisant à l'évocation de mai 68 vu du palace parisien le Meurice où doit avoir lieu la remise du prix littéraire Roger-Nimier,l'un des rares prix de printemps, financé et organisé par la milliardaire Florence Gould, elle-même pensionnaire permanente du Meurice. Tout ça au cours d'un déjeuner prestigieux avec les membres du jury, Blondin, Jouhandeau, Morand, peu suspects de gauchisme, un aréopage très masculin, et quelques invités de passage dont Dali, son épouse Gala et son ocelot Babou. On attend le lauréat, un tout jeune auteur qu'on nobélisera cinquante ans plus tard.

                 Seul écueil, de taille, en ce joli mai Paris est en rade et le Meurice...plus ou moins en autogestion. Les clients, sultan de Zanzibar, maharadjah de Kapurthala, ne sont plus là. De toute façon ni trains ni avions ne condescendent à fonctionner. Rares sont les taxis. Et puis il y a plus de vingt ans que l'on ne croise plus au Meurice le maréchal Von Choltitz se demandant Paris brûle-t-il? L'auteure explore pour nous les arcanes du palace en mode mineur. Le directeur n'étant plus reconnu, plus grand-chose n'étant reconnu dans Paris, le maître d'hôtel en chef et le concierge assurent tant bien que mal un fantomatique service. L'un penchant pour ce magnifique élan populaire, l'autre le déplorant. Moi, moi qui vous parle, je n'étais plus étudiant, il n'y avait plus d'études que la SNCF de toute façon m'interdisait, comme la pénurie d'essence. Donc moi je ne penchais pas. Je ne penche toujours pas, enfin pas sur ce sujet.

                La tendance du roman lorgne vers le burlesque avec  des scènes surréalistes étonnantes bien que ces quelques semaines printanières autorisent pas mal de licences. Il était interdit d'interdire. On a surtout oublié d'interdire la bêtise, incommensurable et tellement partagée. Les directeurs de palaces se réunissent au Fontainebleau, luxueux bar du Meurice. Ils s'appellent par leur raison sociale, un, enfin plusieurs cocktails pour Ritz, pour Plaza, pour Bristol, pour Crillon. Charmeuse, un des quatre pékinois de la milliardaire, aura maille à partir avec Babou le félin du moustachu catalan perpignanocentré. De littérature pour ce prix Roger-Nimier il n'est guère question. Florence ne lit jamais. Morand est surtout assez satisfait des ennuis de De Gaulle, Morand qui fut loin d'être résistant. Blondin ne craint que le rationnement liquide. 

              Pas de belons au menu non plus. Mondanités et ragots, mais dans la soie. Le lauréat, famélique et bégayant, est devenu depuis l'un des plus grands écrivains français, même s'il se voit parfois reprocher d'écrire toujours le même livre. Patrick! Pas tout à fait faux. 

              Ritz n'a encore rien dit. C'est tout de même une référence dans la profession. Ritz a un ascendant certain sur ses confrères, auréolé qu'il est par le génie maladif de Proust et le courage alcoolisé d'Hemingway. Même en tournant toutes le pages de leurs livres d'or,  aucun de ses homologues ne peut se vanter d'un passé aussi chic. Son nom est l'antonomase des palaces. Fitzgerald n'a pas écrit Un diamant gros comme le Bristol ou comme le Plaza. Non, il a écrit Un diamant gros comme le Ritz. C'est à vous rendre jaloux quand on fait le même métier. Dans ce syndicat qui n'en est pas un il fait figure de chef.

             Plongez dans le quotidien eceptionnel du célébre établissement. Au menu du Déjeuner des barricades, à défaut du luxe étoilé des autres années, un millésime d'humour et de fantaisie de très bon aloi, orchestré par une Pauline Dreyfus très affutée en maîtresse de (grande) maison.  

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Tags: Littérature,  Humour,  Histoire

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8 février 2022

Une vie

Masse

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                         Babelio Masse Critique épisode je ne sais plus combien tant notre collaboration est ancienne. Et bon millésime cette fois avec le dernier roman de Dermot Bolger Une arche de lumière. Cet auteur irlandais est l'un des meilleurs contemporains, mais j'en dis autant de Colum McCann, Joseph O'Connor ou Donal Ryan. Années cinquante, Eva est l'héroïne irlandaise, épouse de Freddie, mais qui ne partage pas les idées conservatrices de son mari. Eva reprend sa liberté. Et se consacrera à sa vie personnelle, ce n'est cependant pas un roman que je définirais comme féministe, c'est bien mieux que cela. Francis, le fils d'Eva et Freddie, est homosexuel. En ce temps là, pas facile. Leur fille Hazel, très indépendante, aura besoin de deux mariages pour comprendre sa solitude.

                      On suit Eva du comté de Mayo au Maroc, en passant par l'Espagne et le Kenya qui s'éveille à l'indépendance. C'est un très beau personnage romanesque, un peu inadapté que ce soit à l'Irlande rétrograde (oui, ma chère Irlande a longtemps privilégié l'obscuroté), ou au monde en général. Mais surtout Eva a vraiment existé et Dermot Bolger l'a bien connue. J'ai aimé cette dame mûre, vieillissante, très âgée  et son énergie à vivre au mieux avec ses convictions, qui parvient à ne jamais s'arroger le droit de donner des leçons. Une vie jalonnée de drames terribles, trois horreurs successives.  Mais Eva est une vivante, une opiniatre qui tout au long de son existence, a privilégié sa liberté tout en empathies, difddrentes, avec Franciset Hazel.

                     On sent l'importance qu'a eue dans la vie de Bolger Stella, le modèle qui lui a inspiré le personnage d'Eva. C'est très émouvant et pour tout dire on envie cette relation. Relation déjà évoquée dans Toute la famille sur la jetée du Paradis, que publia l'auteur en 2008, la famille Goold Verschoyle, dont Stella (Eva) est le membre le plus attachant. Les 460 pages d'Une arche de lumière, c'est une odyssée, un voyage "vital" avec ses tristesses infinies, ses moments de joie simple, surtout les rapports d'Eva avec les jeunes générations, sans flatterie ni démagogie. Et la grande complexité des fils qui unissent les êtres humains. 

                     Merci à Babelio, qui m'a parfois éloigné de mes conforts littéraires, et c'est très bien ainsi. Et aux Editions Joelle Losfeld.

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Tags: Littérature,  Irlande

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5 février 2022

Tout s'est bien passé

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                       DVDtrafic m'a gentiment envoyé Tout s'est bien passé de François Ozon, qui fit partie de la sélection Cannes 2021. Je ne suis pas l'un des plus grands fans du cinéma d'Ozon à qui je reconnais volontiers une vraie sensibilité et une finesse d'analyse. Le livre d'Emmanuèle Bernheim raconte la fin de son père André Bernheim, le grand esthète collectionneur d'art, qui, victime d'un sévère AVC, demanda à ses filles de l'aider à mourir via la Suisse, qui autorise l'ultime accompagnement. Stéphane Brizé avait abordé le sujet en 2012 dans Quelques heures de printemps, Vincent Lindon emmenant sa mère Hélène Vincent vers le même terminus. 

                     André Dussollier, vieilli d'une douzaine d'années, et quelques prothèses faciales, endosse le rôle de l'octogénaire en fin de vie. Un homme qui ne devait guère être facile. Sophie Marceau et Géraldine Pailhas sont ses deux filles. Pas sûr qu'il les ait aimées enfin, à sa façon. Les familles chez Ozon sont rarement en paix. L'épouse, sculptrice, Charlotte Rampling d'une grande dureté, se tient à distance. Mais la distance entre le mari et la femme est une vieille histoire, beaucoup de rancoeur, bien peu d'amour. Au seuil de la mort il semble découvrir qu'elles existent. Tout s'est bien passé parvient à nous émouvoir, du travail soigné, souvent vraisemblable. Mais à mon sens le propos est un peu desservi par l'intellectualisation des personnages, pour tout dire le côté germanopratin du climat. Non que le questionnement sur la façon d'en finir soit illégitime en ce milieu. Mais cela m'a un peu perturbé.

                     Il faut dire aussi qu'Emmanuèle Bernheim, elle-même morte en 2017, était très proche de Françosi Ozon, et sa coscénariste à plusieurs reprises. Le film est ainsi d'une grande fidélité. Sinon Ozon a réussi à ce que son film reste du côté de la vie, ce qu'il souhaitait, je crois, plus que tout. Et l'humour qui affleure parfois sur quelques scènes m'a semblé bien venu. Le tout d'un grand classicisme, ce qui n'est pas péjoratif. Un peu moins réussi que le précédent opus du metteur en scène Grace à Dieu, tout de même plus aigu. 

(Diaphana Edition Vidéo). "En Blu-Ray, DVD et VOD depuis le 1er février, et en EST depuis le 28 janvier"
 
ttps://www.cinetrafic.fr/film/62471/tout-s-est-bien-passe
le site Internet de l'éditeur, son Facebook et son Twitter
 
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Tags: Cinéma

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3 février 2022

A propos de plateformes 🎸

                     Auraient-elles du bon? David Crosby, Stephen Stills, Graham Nash et Neil Young se seraient adressé la parole dans leur lutte contre l'une d'entre elles. Pas  de confirmation à propos d'un mail envoyé par Paul Simon à Art Garfunkel. Mais qu'est-ce que je les aime toujours...Nul ne guérit de ses vertes années.

 

 

 

 

 

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Tags: Rock,  Folk,  Humour,  Young

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2 février 2022

Monica

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                            Parmi les femmes de ma vie cinéphile... J'ai jadis écrit sur la tétralogie L'Avventura, La notte, L'éclipse, Le désert rouge. Admirables. Et donné une conférence sur le cinéaste Antonioni et son actrice. C'était une série (Sternberg/Dietrich, Rossellini/Bergman, Bergman/Ullmann, Cassavetes/Rowlands, Allen/Keaton, Almodovar/Maura). Je crois que Monica reste la plus inoubliable.

 

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Tags: Italie,  Antonioni,  Cinéma,  Iles

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